Portrait #2

EmmanuelleKoralewski

Responsable Qualité de la Marque Fouganza et cavalière accomplie (saut d’obstacles)
Ex-Responsable rayon du Decathlon Beauvais

“ Mon besoin vital d’écouter les clients ”

“ Je dévorais les catalogues Fouganza ”

“ J’ai aujourd’hui 44 ans et j’ai passé près de la moitié de ma vie chez Decathlon et c’est une sorte d’aboutissement de ma passion. Plus jeune, alors que j’étais déjà passionnée d’équitation, je me souviens que je dévorais les catalogues Decathlon que je rapportais à la maison, surtout les pages liées à Fouganza et à l’équitation. A l’époque, il n’y avait pas Internet et dès que je pouvais me rendre en magasin, je sortais le catalogue pour montrer ce que je voulais au vendeur ! J’aurais passée mes journées dans les rayons tant je me sentais attirée par les produits, qui étaient liés à mon amour du sport, et des chevaux en particulier.
Comme nous n’avions pas de chevaux, toute petite, je montais les vaches… dès que j’ai su parler, j’ai exprimé ma passion pour le cheval, mon amour de l’animal, ce contact avec lui. Je n’ai jamais décroché depuis. Passionnée d'équitation depuis toujours, j'ai commencé à monter à l'âge de huit ans, alors que ma famille n'était pas du tout cavalière, surtout ma mère qui avait peur des chevaux ! J’ai continué de monter à cheval tout au long de mes études et, après le bac, je me suis engagée dans des études de physique-chimie, mais, pour être franche, je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire plus tard. Une seule certitude m’habitait : je voulais travailler avec les chevaux ! ”

“ Ma passion m’a permis de rentrer
chez Decathlon ”

“ Avec mon diplôme en poche, je suis retournée vers mes premières amours et j’ai postulé comme responsable de rayon Equitation au magasin Decathlon de Beauvais… au désespoir de mes parents ! Et la réponse fut positive. Ma passion me permettait de rentrer chez Decathlon ! Cela a payé car, après quatre ans de très belle expérience en magasin, je suis partie en centrale d'achat dans la marque Geologic (qui couvrait à l’époque la chasse, la pêche et l’équitation) et j’ai travaillé en particulier sur le rayon… équitation.
Grâce à mon diplôme scientifique (ingénieur produit agrochimie), je suis passée chez Fouganza, qui se créait, il y a onze ans. Mes parents étaient alors très contents de voir que je n'avais pas fait des études pour rien et que mon poste de responsable de rayon me menait haut ! Grâce à la diversité des métiers offerte chez Decathlon, j’ai, depuis, mené plusieurs métiers, toujours dans ma marque passion Fouganza, dont ingénieur produit, chef de projet, passant de la production à l’achat. Je suis désormais responsable de la Qualité de Fouganza et je vis un rêve éveillé car je travaille souvent en lien direct avec les clients. C'est la force de Decathlon de pouvoir donner l'opportunité à ses collaborateurs de changer facilement de métier en mettant en place des formations pertinentes ainsi que de faire évoluer les produits à partir des avis des clients. ”

“ Je suis devenue Ingénieur Essai Terrain
pour mieux écouter nos clients ”

“ En tant que responsable Qualité de Fouganza, je retrouve la relation que j’avais avec mes clients dans mon rayon du magasin. Etre en lien direct avec nos utilisateurs, qui nous donnent un avis sans concession et très pertinent sur la qualité de nos produits, me plaît beaucoup.
Dans cet esprit, j'ai souhaité reprendre aussi une mission d'IET : Ingénieur Essai Terrain pour Fouganza. Cela me permet d'aller plus sur le terrain et de discuter avec mes utilisateurs, ce qui est un besoin vital pour moi et pour m'épanouir dans mon métier. J'organise donc des tests sur le terrain pour corréler les « avantages » de nos produits avec le ressenti de nos clients et pouvoir afficher une montée en gamme de nos produits en magasin comme sur decathlon.fr. Ces tests se déroulent en partenariat avec des centres équestres ou bien sur un cheval mécanique, situé dans les bureaux de Fouganza, sur le site de Decathlon Campus, à Villeneuve-d’Ascq. Ce cheval permet de reproduire l’usage. Notre entreprise permet d’assouvir sa passion et faire son métier, sans en pâtir dans sa vie personnelle… Je m’éclate dans mon métier car je m’amuse tout en apprenant plein de choses. ”

“ J’ai débourré moi-même mes chevaux ”

“ J’ai toujours monté en club ou j'ai passé mes 7 galops (à l’époque, le Galop 7 s’appelait l’éperon d’argent et je l’ai passé au club hippique de Sancourt, à côté de Cambrai, dans le Nord. J'ai pu m'acheter mon premier cheval avec mes premiers salaires de Decathlon ! C'était un selle français alezan que j'ai débourré moi-même ! Et c'est à ce moment là que m'est venu ma passion pour le jeune cheval. Effectivement, j'adore le contact que l'on peut avoir avec les jeunes chevaux, tout le travail de communication que l'on peut faire avant de monter dessus, J'ai débourré mes trois chevaux et mon poney que j'ai eu depuis !
J'ai beaucoup tourné dans le circuit amateur dans plusieurs disciplines : saut d’obstacle (CSO), complet (CCE) et dressage.
Je me suis ensuite spécialisée dans le circuit CSO et j'ai tourné sur des épreuves jusqu'à 1 mètre 20. Monter un cheval, ce n’est pas le monter, c’est le connaître, le respecter, comme dans une relation humaine. Le cavalier et son cheval doivent former un couple indissociable. Puis les enfants sont arrivées : Léa née en 2002 puis Sandra née en 2006, elles ont vite suivi la passion de leur maman et ont commencé à monter vers 3 ans en baby poney en club.
Lorsque mes filles ont commencé les concours clubs et poneys, j'ai décidé de changer d'orientation ma passion, au lieu de partir toute seule en concours amateur avec ma jument de concours, j'ai décidé de la vendre pour me concentrer sur le coaching de mes enfants, pouvoir travailler leurs chevaux et poneys et les accompagner en concours. Je garde quand même un cours par semaine pour moi et mes filles par une monitrice, ce qui me permet aussi de toujours être à la recherche du perfectionnement pour nous procurer tous les jours le plaisir de monter et avoir des sensations entre le cavalier et le cheval ! ”

“ Me voilà donc depuis plusieurs années en toute complicité avec mes enfants, on partage cette passion très prenante ! Aujourd’hui, ma grande fille Léa tourne en Club 2 (85 cm) et Club 1 (95cm) et ma plus jeune en poney 2 (80 cm) et poney 1 (90cm). Mes filles viennent me voir au bureau, à la Fermette et me disent : Mais c’est magique ici, c’est le monde du cheval, tu ne travailles pas ! Je leur explique que si, mais que je suis chanceuse. Je leur montre aussi – et les fait tester. Avec les produits Fouganza.
Même si nous sommes à fond concours, nous adorons aussi nous retrouver toutes les trois pour faire des balades et aller régulièrement soit en forêt soit à la mer et mon mari nous accompagne à vélo ! Mes testeurs me disent aussi que cela se voit que je vis mon amour du cheval et de l’équitation dans mon métier. Le mot travail associé à la pénibilité ou à la monotonie ne s’applique certainement pas à ma fonction chez Fouganza. Je parlerai de passion ! ”

Mon produit coup de coeur

La protection dorsale

La sécurité est pour une maman essentielle lorsque l'on pratique l'équitation. Fouganza travaille très fortement cette stratégie et nous avons encore beaucoup de projets en cours qui me font rêver : Protection intégrale niveau 3, étrier de sécurité ...
Les protections sont très importantes et les accidents ne sont malheureusement pas rares... Cette protection dorsale est idéale pour protéger le dos tout en étant très discrète et confortable. Pour vous dire, ma fille oublie souvent de l'enlever et ne s'en rend compte que lorsqu’elle arrive à la maison en enlevant son manteau !
Mes filles sont testeuses et adorent la marque. Pour elles, leur maman ne travaille pas vraiment ...
Elles sont souvent sollicitées pour participer aux shoots photos et sont supers fières, comme leur maman !